MOON-SUR-ELLE (50) 20.02.2021
Résumé
Courte observation d'une lumière blanche intense dans le ciel en déplacement silencieux vers l'ouest : probable méprise avec un bolide sporadique.
Description
Le 20 février 2021 vers 07h10, alors qu'il est devant sa porte d'entré, l'attention du témoin est attirée par une lumière intense blanche, apparue dans le ciel nuageux. Ce phénomène se déplace silencieusement plein ouest, avec un éclairage au sol limité. Le témoin perd de vue le phénomène, caché par une ligne de haies. L'observation dure 3 secondes. Aucun autre témoignage ne corrobore cette observation.
Le témoin décrit précisément ce qu’il a vu : la consistance du cas est bonne.
A la lecture du témoignage, le cas ne présente pas de caractéristique d'étrangeté particulière. Si ce n'est l'étrangeté vécue et ressentie par le témoin, toujours délicate à quantifier. L’étrangeté est, en outre, considérablement réduite par l’explication proposée.
Le témoin est surpris par l’aspect du PAN présenté, car peu habituel, au petit matin dans un ciel légèrement nuageux. Il renonce d'emblée à sa première hypothèse d'identification d'un bolide, ce pour trois raisons, qu’il définit ainsi : Premièrement, la hauteur faible du PAN (« la source lumineuse n’est pas très haute, juste dans la couche nuageuse ou juste au-dessus » PV). Deuxièmement, la faible zone d’éclairage au sol (« Les zones éclairées restent cependant limitées » PV) et troisièmement, l’absence de bruit (« aucun bruit » PV).
Pourtant l’observation reste compatible et cohérente avec un bolide. Le phénomène est en hauteur angulaire en apparence faible (mais probablement à 20 km de haut) et surtout fort éloigné du témoin (quelques bonnes dizaines de kilomètres). Il indique, par ailleurs, que le nuage se détachant (devenant plus « transparent ») il perçoit mieux cette lumière ainsi que la source lumineuse.
Il est fréquent qu’un bolide éclaire le sol intensément, mais du fait d'un ciel nuageux et à faible hauteur angulaire, il est normal que la zone éclairée au sol demeure plus restreinte.
Enfin l’absence de bruit n’a rien de rédhibitoire, de très nombreux récits témoignant, également, d'un silence total lors d’apparition de bolide.
L’enquête conclut à une méprise probable avec un bolide sporadique.
Le GEIPAN classe le cas en B : probable apparition d’un bolide.
Le témoin décrit précisément ce qu’il a vu : la consistance du cas est bonne.
A la lecture du témoignage, le cas ne présente pas de caractéristique d'étrangeté particulière. Si ce n'est l'étrangeté vécue et ressentie par le témoin, toujours délicate à quantifier. L’étrangeté est, en outre, considérablement réduite par l’explication proposée.
Le témoin est surpris par l’aspect du PAN présenté, car peu habituel, au petit matin dans un ciel légèrement nuageux. Il renonce d'emblée à sa première hypothèse d'identification d'un bolide, ce pour trois raisons, qu’il définit ainsi : Premièrement, la hauteur faible du PAN (« la source lumineuse n’est pas très haute, juste dans la couche nuageuse ou juste au-dessus » PV). Deuxièmement, la faible zone d’éclairage au sol (« Les zones éclairées restent cependant limitées » PV) et troisièmement, l’absence de bruit (« aucun bruit » PV).
Pourtant l’observation reste compatible et cohérente avec un bolide. Le phénomène est en hauteur angulaire en apparence faible (mais probablement à 20 km de haut) et surtout fort éloigné du témoin (quelques bonnes dizaines de kilomètres). Il indique, par ailleurs, que le nuage se détachant (devenant plus « transparent ») il perçoit mieux cette lumière ainsi que la source lumineuse.
Il est fréquent qu’un bolide éclaire le sol intensément, mais du fait d'un ciel nuageux et à faible hauteur angulaire, il est normal que la zone éclairée au sol demeure plus restreinte.
Enfin l’absence de bruit n’a rien de rédhibitoire, de très nombreux récits témoignant, également, d'un silence total lors d’apparition de bolide.
L’enquête conclut à une méprise probable avec un bolide sporadique.
Le GEIPAN classe le cas en B : probable apparition d’un bolide.