MAFFLIERS (95) 29.06.2012
Summary
Témoignage unique d'une observation d'un objet lumineux blanc gigantesque flottant au-dessus d'un champ. Inclinaison et départ rapide et silencieux vers les nuages : phénomène non identifié.
Description
Le 29 juin 2012 vers 6h06 (précision sur l'heure voir le compte-rendu d'enquête) un promeneur, alerté par son chien, est intrigué par la présence d’un objet lumineux blanc, stationnaire à basse altitude au-dessus d'un champ en lisière de forêt. L'observation qui dure moins de vingt secondes, permet cependant au témoin de déclarer que l'objet avait de grandes dimensions, une forme plate en-dessous et concave au-dessus. Alors qu'il se met à pleuvoir, l'objet s'élève un peu, s'incline et part à grande vitesse en direction du ciel nuageux. Aucun bruit particulier, aucune fumée ne sont constatés durant l'observation par le témoin apeuré. Aucun autre témoignage n'a été recueilli sur ce phénomène.
Ce cas présente la particularité d’être extrêmement semblable et synchrone avec un phénomène naturel bien classique : l’observation du soleil au levant entre deux couches nuageuses. Mais plusieurs éléments importants ne conviennent pas :
- Principalement la direction d’observation : 54° d’écart par rapport au soleil, cet écart est impossible à affecter à une incertitude.
- L’inclinaison du phénomène avant sa disparition : ce deuxième élément pourrait s’expliquer par une illusion de la perception due à l’intensité lumineuse du phénomène, ou bien par analogie à des observations de PAN médiatisées.
- La taille apparente du phénomène : presque 10 fois plus grande que l’image du soleil : la surestimation du diamètre apparent de la Lune ou du Soleil à son lever est très fréquente, mais rarement dans ces proportions.
Les enquêteurs du GEIPAN sont allés sur place une première fois pour vérifier le lieu et les directions d’observation indiquées par le témoin et ont exclu l’erreur involontaire d’estimation de direction par le témoin. Une deuxième fois pour étudier la possibilité d’une réflexion complexe du soleil permettant de l’observer dans une autre direction. Ils n’ont pas pu mettre en évidence d’hypothèse satisfaisante ; mais il faut noter aussi que les conditions météorologiques de ce matin-là étaient très particulières, et bien sûr non reproductibles : grosse chaleur et grosse pluie la veille, et forte couverture nuageuse le matin même.
Son étrangeté est moyenne, puisque le phénomène est semblable à un phénomène naturel bien classique, mais avec au moins une caractéristique importante non-conforme.
Le GEIPAN classe ce cas « D1 » comme inexpliqué et de consistance moyenne.
Ce cas présente la particularité d’être extrêmement semblable et synchrone avec un phénomène naturel bien classique : l’observation du soleil au levant entre deux couches nuageuses. Mais plusieurs éléments importants ne conviennent pas :
- Principalement la direction d’observation : 54° d’écart par rapport au soleil, cet écart est impossible à affecter à une incertitude.
- L’inclinaison du phénomène avant sa disparition : ce deuxième élément pourrait s’expliquer par une illusion de la perception due à l’intensité lumineuse du phénomène, ou bien par analogie à des observations de PAN médiatisées.
- La taille apparente du phénomène : presque 10 fois plus grande que l’image du soleil : la surestimation du diamètre apparent de la Lune ou du Soleil à son lever est très fréquente, mais rarement dans ces proportions.
Les enquêteurs du GEIPAN sont allés sur place une première fois pour vérifier le lieu et les directions d’observation indiquées par le témoin et ont exclu l’erreur involontaire d’estimation de direction par le témoin. Une deuxième fois pour étudier la possibilité d’une réflexion complexe du soleil permettant de l’observer dans une autre direction. Ils n’ont pas pu mettre en évidence d’hypothèse satisfaisante ; mais il faut noter aussi que les conditions météorologiques de ce matin-là étaient très particulières, et bien sûr non reproductibles : grosse chaleur et grosse pluie la veille, et forte couverture nuageuse le matin même.
Son étrangeté est moyenne, puisque le phénomène est semblable à un phénomène naturel bien classique, mais avec au moins une caractéristique importante non-conforme.
Le GEIPAN classe ce cas « D1 » comme inexpliqué et de consistance moyenne.