SAINT-LO (50) 04.04.2012
Summary
Observation des évolutions de deux points lumineux dans le ciel. Le second point évolue autour du premier qui a une trajectoire rectiligne : ce cas d’observation est classé « D1 » comme inexpliqué.
Description
Le mercredi 4 avril 2012 à 20h15, un témoin est intrigué par les évolutions dans le ciel de deux points lumineux jaunes ou blancs qui traversent le ciel de l'Est vers le Nord à une vitesse importante. Le premier point a une trajectoire rectiligne et uniforme mais c’est le second qui captive l’attention du témoin, car il évolue sans cesse autour du premier, décrivant des ellipses, des bifurcations brusques en angle aigu, allant au contact puis reprenant sa position en arrière de façon très rapide. L’observation se termine au bout d’une quinzaine de secondes, alors que les deux points lumineux disparaissent à travers ou derrière un nuage.
Après une enquête de terrain qui a permis de préciser les azimuts, et un entretien cognitif qui n'a pas apporté de nouveaux éléments significatifs, ce cas d’observation reste d’une étrangeté élevée compte tenu des évolutions du deuxième PAN autour du premier ; ce cas d’observation résiste aux hypothèses usuelles de méprise (voir le compte rendu d'enquête).
Du fait de l’unicité du témoignage et de sa brièveté, il reste l’hypothèse d’une illusion visuelle temporaire (migraine ophtalmique, phosphènes), mais le témoin semble jouir d’une vue et santé parfaite et n’a pas signalé avoir été victime d’effets similaires : faute d’éléments confortant cette hypothèse, elle a été rejetée.
La consistance du cas est évaluée à 0,7 car le témoin est unique, sans réserve.
L’étrangeté du cas est évaluée à 0,6 du fait de l'objet à déplacement non linéaire, mais lointain.
Par conséquent, ce cas d’observation est classé « D1 » comme inexpliqué.
Après une enquête de terrain qui a permis de préciser les azimuts, et un entretien cognitif qui n'a pas apporté de nouveaux éléments significatifs, ce cas d’observation reste d’une étrangeté élevée compte tenu des évolutions du deuxième PAN autour du premier ; ce cas d’observation résiste aux hypothèses usuelles de méprise (voir le compte rendu d'enquête).
Du fait de l’unicité du témoignage et de sa brièveté, il reste l’hypothèse d’une illusion visuelle temporaire (migraine ophtalmique, phosphènes), mais le témoin semble jouir d’une vue et santé parfaite et n’a pas signalé avoir été victime d’effets similaires : faute d’éléments confortant cette hypothèse, elle a été rejetée.
La consistance du cas est évaluée à 0,7 car le témoin est unique, sans réserve.
L’étrangeté du cas est évaluée à 0,6 du fait de l'objet à déplacement non linéaire, mais lointain.
Par conséquent, ce cas d’observation est classé « D1 » comme inexpliqué.